Nous contestons cette réforme inégalitaire des retraites basée sur le consumérisme et l’exploitation infinie de la nature comme des humains. Porteuse d’une croissance économique toujours plus destructrice pour l’environnement, elle est à l’exact opposé des choix qu’impose l’urgence climatique.
Cette réforme pèsera sur les finances de nos communes déjà contraintes par la hausse du coût de l’énergie en alourdissant leurs cotisations sociales. Elle attaque aussi le vivier des bénévoles associatifs que sont les retraités, sans lesquels nombre d’activités socialement utiles, souvent délaissées par l’État, pourraient disparaître.
Vive la retraite, vive le bien-être !